PREAMBULE
Dans cette histoire, ce roman réel à quatre mains, voir six, deux versions vont se croiser…
L’une est la vie réelle, l’autre est la vie qui aurait pu être… Celle que les protagonistes auraient tant aimé suivre, celle qui aurait pu, celle que l’on regrette toujours de n’avoir pas pu suivre. L’autre, la « vraie » vie… celle qui s’impose à tous avec ses bonheurs et ses malheurs…
A l’instant où je pointe ma souris sur le lien pour l’ouvrir je suis parfaitement à mille lieux d’imaginer les conséquences de cet acte dans le mois qui va s’en suivre…
Habitant une petite ville au plein centre de la Bourgogne, et malgré une vie active et mouvante dans des temps peu éloignés, nous sommes plus ici habitués à des personnages au final assez lisses, Monsieur et Madame Papa Maman et leurs enfants… Quelques cocufiages dont les seuls à l’ignorer en sont les instigateurs eux-mêmes. Un simple magasin de sous-vêtements coquins et sexy se transforme dans l’imaginaire en sex-shop, boite à sexe, et lieux de dépravation… Tout ça parce que personne n’a jamais vu de slip fendu ailleurs que sur des catalogues papiers ou des sites Internet…
Alors avoir des voisins voisines gérant de boite échangiste, c’est bien mieux s’ils sont homosexuels ! Tant qu’à être dépravés, autant qu’ils le soient totalement. Certes j’abuse peut être sur le manque de tolérance, mais souvent quelque raccourcis saignants sont présentes dans la pensée rurale de nos campagnes.
Faire la découverte de ce blog, est une sorte de révélation.
Nouvelles précisions en route, il ne m’est jamais arrivé de recourir à ces prestataires… Non pas que ma morale y soit opposée mais tout simplement, que mes moyens s’arrêtent là où commence la folie des grandeurs. Je n’aime pas les rapports à la va-vite… Enfin si parfois mais seulement en terrain de connaissance… alors dans ces conditions les prestations ont tendance à augmenter et laisser une note salée. N’ayant pas encore eu le plaisir de me faire offrir par des copains généreux un enterrement de vie de garçon, je n’ai donc jamais consommé de la sorte ni d’avoir un sympathique mentor amoureux des belles soirées.
A mon grand regret faut-il bien l’avouer.